Après leur déménagement
Adam et Ève ont eu un enfant
Quel évènement !
Ils le nomment Caïn
Lui font-ils des câlins ?
Plus tard, Ève enfanta Abel
Caïn fut agriculteur
Abel devint, des brebis, le pasteur
Chacun à son labeur
Sa récolte, Caïn l’offre à l’Éternel
Ce sont des ovins que va offrir Abel
L’Éternel agrée l’offrande d’Abel
Jaloux, Caïn se met en colère
Il se jette sur son frère
Et le tue à terre
Dieu appelle Caïn
« Où est ton benjamin » ?
Caïn répond : Serais-je son gardien ?
« Le sang de ton frère crie
Toi, tu seras maudit »
Par l’Éternel, Caïn est banni
« La terre ne te donnera aucun fruit
Tu n’en tireras aucun profit »
« Tu seras errant comme un vagabond »
Mon châtiment est trop lourd
Dois-je le supporter à toujours
Comment le vivre jour après jour ?
Aujourd’hui tu me chasses
Il faudra que je me cache
Si quelqu’un me trouve, il me tuera
« Si quelqu’un te tuait
Il le regretterait
Car vengeance il subirait »
L’Éternel le protège d’une marque
Afin que nul ne le tue, ne le claque
Caïn quitte la contrée
Dans cette nouvelle contrée
Une famille il a créée
Des enfants, engendrés
Quant à Adam
Il eut d’autres descendants
Et dans le pays, on se mit à prier l’Éternel
Genèse 4

Bonjour,
parler de déménagement alors qu’Adam et Eve viennent d’être chassés de la présence de Dieu et que par leur faute tous leurs descendants hériteront du péché et de la mort spirituelle je trouve ça vraiment léger .. 😦
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Le précédent poème finissait ainsi : « Dieu […] a chassé l’homme du beau jardin ».
C’est en quelque sorte un « déménagement » forcé.
Et… la contrainte des rimes rétrécit le choix des mots…
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