Un fort courant marin m’entraîne Vers l’obscur détroit des sirènes Dans les feux du soleil couchant J’entends les échos de leurs chants
Étiquette : Lewis
VII – Comme au premier jour de l’été
Un rugissement solennel Une splendeur qui émerveille Des yeux aux éclats éternels Au nom d’Aslan, les cœurs s’éveillent
VI – Regardez vers Sa Majesté ! (Ballade)
Devant vos pieds, un précipice Dans les bois et l’obscurité Quelques loups voraces glapissent S’en retourner ou s’arrêter ?
C.S Lewis, F. Thompson et le chien du ciel
Dieu a poursuivi Lewis comme un chat poursuit une souris et ce n'est pas lui, la souris qui aurait pu chercher le chat, car il était bien trop terrifié. Cela m'a fait penser à un poème de la fin de l’ère victorienne, écrit par Francis Thompson, intitulé Le chien du ciel (ou Le lévrier du ciel). Voici comment commence et se termine ce poème...
V – La neige commençait à fondre
– Quelque chose vient de changer… – Les sapins semblent plus légers. – Quel est ce grondement qui roule ? – C’est la clameur de l’eau qui coule !
IV – Quelques poèmes très anciens
De temps en temps, il me revient Quelques poèmes très anciens Qui formaient de larges volutes Sur mon tambour et sur ma flûte
III – Inutile : Aslan est en route !
Les loups de la Sorcière Blanche Un matin vinrent me chercher Mon tort fut de m’être attaché Quand j’y pense, ma plume flanche…