Parfois, la nuit des hommes, nuit des cœurs,Je tombe dans le noir, dans les rumeursDu mystère, et glacé, je sens le vide.Je sens que tu n'es plus là dans la nuit.Et moi, pareil au fleuve au rêve enfui,Je roule, et je suis ma pente livide.Vie et mort. Mais bientôt qui frappe ? Est-il jour déjà… Lire la suite La pierre roulée
