J’ai le souffle coupé devant ces murs hostiles Je me sens oppressé, captif de cette cour Je lève le regard : d’où viendra le secours ? Il vient de l’Eternel, le maître de l’argile
J’ai le souffle coupé devant ces murs hostiles Je me sens oppressé, captif de cette cour Je lève le regard : d’où viendra le secours ? Il vient de l’Eternel, le maître de l’argile