Et s’il y avait un endroit où le temps ne s’arrête plus
Et s’il y avait une journée sans fin, sans nuit
Et s’il y avait une joie inexplicable
Et s’il y avait un amour intarissable
Combien j’aurais voulu habiter, cette autre vie, cet autre monde
Et si le corps n’était plus en proie à la maladie
Et si l’âme était immaculée de meurtrissures
Et si l’esprit chantait à jamais la paix
Et si les hommes ne pouvaient que s’aimer
Combien j’aurais voulu habiter cette autre vie, cet autre monde
Et si le mal était éradiqué
Et si les paroles étaient doucereuses
Et si la race humaine était une et indivisible
Et si le monde était un village de pureté
Combien j’aurais voulu habiter cette autre vie, cet autre monde
Et si la mer était le lit sur lequel je repose
Et si le vent caressait sans cesse mon visage
Et si le ciel d’azur n’était que mon seul paysage
Et si je contemplais l’Etre qui devint moi
Combien j’aurais voulu habiter cette autre vie, cet autre monde
Bonjour Pasteur Pierre Texeira
C’est bien ton blog?
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