On a tué ma biche qui avait soif du Dieu vivant.
Ma biche qui soupirait après lui dans la forêt,
Dans le désert et près des courants d’eaux.
Ma biche est devenue le trophée de l’injustice.
Ses entrailles coulent comme une pluie éternelle.
Son sang encore chaud est la boisson des cœurs froids.
On a tué ma biche qui avait soif du Dieu vivant.
Ma biche qui soupirait après lui.
Comme une biche soupire après des courants d’eau, Ainsi mon âme soupire après toi, ô Dieu! Mon âme a soif de Dieu, du Dieu vivant (…)
Psaumes 42 :2-3