Dans le son de ma voix, quand j’use mes poumons
À crier dans le vent, sans aucune raison.
Dans les bras du soleil qui coulent sur mon dos,
Quand sa douce chaleur vient réchauffer ma peau.
Dans l’herbe douce et fraiche, où tout un monde crépite,
Quand mille insectes fous tourbillonnent et s’agitent,
Tu es là.
Dans l’odeur enivrante d’un bon plat qui mijote,
Quand la vapeur s’échappe, aspirée par la hotte.
Dans le bruit des couverts qui claquent et rebondissent
Dans des assiettes pleines de rires qui retentissent.
Quand les amis s’en vont, que le silence remonte
Et que ma femme chantonne, sans même s’en rendre compte,
Tu es là.
Dans le sang de mes veines, dans chaque pulsation,
Quand toutes mes cellules travaillent à l’unisson.
Dans chaque battement, chaque respiration,
Dans chaque long soupir et dans chaque frisson,
Tu es là.
Du fin fond de l’espace où meurent les galaxies,
Jusqu’au cœur des atomes où travaille la vie,
Tu es là.
superbe 🙂
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Merci Marmotinn !
C’est clairement pas le poème dont je suis le plus fier, un peu « lourd » mais j’avais envie d’une jolie louange à partager avec les frères et soeurs alors j’ai fait !
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