J’accrocherai les ailes de l’aurore,
Au dos de tous mes rêves endormis.
Ils voleront jusqu’au plus beau pays,
Là où l’amour vrai ne cesse d’éclore.
Je chevaucherai un ciel sans nuage,
À la poursuite d’un nouveau bonheur.
Au Mont Espoir, je poserai mon cœur,
Je tendrai l’oreille à la Voix du Sage.
J’arpenterai les sentiers de Sagesse
Qui font les délices des pèlerins.
De forces neuves, je ceindrai mes reins,
Je boirai à la source d’allégresse.
Je me ferai léger comme une biche,
Pour franchir les obstacles de la peur.
Je contournerai les serments trompeurs ;
Loin des tracas, de paix, je serai riche.
Chaque nuit, je cueillerai des étoiles
Et j’en ferai de lumineux bouquets.
Je m’inventerai un copieux banquet,
Sous une voûte céleste sans voile.
Je m’élèverai dans le nouveau monde,
Là où aboutissent tous les chemins.
Sous le couvert de la divine main,
À jamais, paix et joie seront fécondes.
Je joindrai mes chants à la voix des anges,
J’épandrai mon âme comme un parfum.
Le Créateur et moi, nous serons un,
À Lui seul, iront toutes mes louanges.
Ce poème est une réponse au défi #7 (écris un poème au futur sur le thème de l’espérance ou de l’espoir)
(Image de l’auteur : montagne en Galilée)
MAGNIFIQUE, MERCI BEAUCOUP.
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Magnifique, merci beaucoup pour ce beau poème!
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J’avais déjà lu ce poème sur la page FB, et j’avais commenté, mais je ne résiste pas à dire encore combien ce poème est d’une poésie renversante et d’une délicatesse extraordinaire.
Quand on le lit, on y trouve l’occasion cathartique de pouvoir enfin verbaliser toute la louange qui brûle en nous, par Christ, vis-à-vis de l’espérance de la gloire à venir.
Merci.
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