Quand on est si lent, presqu'immobile, le monde n'est pas le même… Cela l'homme l'a oublié, mais s'il s'arrêtait de bouger pendant un long moment, fixant seulement ce qui est devant lui, ou fermant complètement les yeux, il s'en souviendrait...
Quand on est si lent, presqu'immobile, le monde n'est pas le même… Cela l'homme l'a oublié, mais s'il s'arrêtait de bouger pendant un long moment, fixant seulement ce qui est devant lui, ou fermant complètement les yeux, il s'en souviendrait...
Merci pour le poème, le défi est relevé ! J'aime bien l'idée du cheminement qui associe au fil de l'inspiration…