Vide, sans lui, mon âme inassouvie
Erre sans fin sur la terre asservie,
Terne au-dedans, mais brillante au-dehors,
Ses qualités jettent des reflets d’or.
« Quelle bonté ! Quels talents ! Je t’envie… »
Un bruit strident sans aucune harmonie
Une cymbale, un cuivre à l’agonie,
Qui fait vibrer soudain ce qui est mort.
Vide, sans lui.
Mais ce matin, voici l’aube bénie
Qui me remplit d’une paix infinie.
Un son nouveau résonne dans mon corps,
C’est le parfait et le premier accord
De son amour ; puis c’est la symphonie…
Vide, sans lui.
David, le 7 septembre 2022
En réponse au défi d’écriture n°17 : j’aurais beau
Je ne crois pas pouvoir faire aussi bien.
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Merci pour le compliment 😊, mais je suis sûr que tu peux faire beaucoup mieux !
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Nous verrons.
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C e vide,cette blessure intime avec l’espérance d’un nouveau commencement….
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Un vrai rondeau celui-ci ! Des mots recherchés et un sens profond ! Bravo !
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Merci Débora !😊
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Le mot « déguster » de G.E. Dixon est bien choisi… Poème à lire lentement en savourant chaque mot ou à déguster comme un bon vin 🍷 🙂
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